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Darío Antonio Suro García-Godoy était un critique d’art, diplomate et peintre de la République dominicaine. Il était le neveu du peintre Enrique García-Godoy, son premier professeur d’art. García-Godoy est considéré comme l’un des fondateurs de l’école moderniste de la peinture dominicaine. Dario Suro est né à La Vega en 1917. Jeune homme, il dessinait constamment des scènes de la ville et des environs. Son premier professeur fut Enrique Garcia Godoy, son oncle, un peintre académique réputé, qui avait été formé en Europe, principalement en Italie, et qui peignait des scènes historiques dominicaines.

Los Bañistas, 1945

Les premières œuvres de Garcia Godoy pourraient être définies comme du “costumbrist” qui se transforme progressivement en une sorte de “néo-impressionnisme” recevant immédiatement un accueil très positif et sincère de la part du public car, par essence, il est agréable, facile et décoratif. Dans cette phase, il y a deux thèmes qui commencent à obséder Suro. Il peint des scènes de pluie, dont il expliquera plus tard qu’elles sont une réaction aux peintures de Yoryi Morel, qui débordent de soleil, et aussi une réaction à certaines conditions météorologiques – à La Vega, sa ville natale, il y avait plus de pluie que dans la ville natale de Morel, Santiago, qui était plus ensoleillée. Son autre obsession à cette époque est le cheval, qui le fascine, qu’il dessine et peint constamment. Selon sa femme Maruxa, chaque fois qu’il voyait l’un de ces nobles animaux, il devenait transi, les observant attentivement.

El Violinista
Caballos
C. 1942-44, Oleo sobre tela, 99 x 133 cms. Imagen: Centro Leon Jimenes.

” Soudain, quelque chose de terrible se produit, le moment le plus tragique de sa vie : son fils, Jaime Agustin, né au Mexique et âgé de presque deux ans, meurt subitement. Sa peinture à ce moment-là reflète clairement l’angoisse et la douleur de ce moment tragique. Cela devient un thème obsessionnel qui le hante pendant plusieurs années dans ses toiles qui traitent de ce triste événement. Certaines de ces œuvres sont en effet très sombres, comme celle du père portant l’enfant mort. Une autre est pleine de couleurs, avec Jaime au premier plan, assistant à ses propres funérailles entouré de ses “amis”, gardant l’obscurité à l’extérieur du tableau. Cette tragédie marque Suro pour le reste de sa vie. Malgré l’angoisse écrasante, deux événements lui apportent un certain soulagement : la naissance de son fils Federico en 1948 et celle de sa fille Rosa en 1949.”

Maternidad
C. 1951. Coleccion Familia Rafael Santos Torroella.

Agonia
C. 1946. Coleccion privada, via Federico Suro.
La fiebre
C. 1946, Oleo sobre tela, 78.6 x 69.5 cm
Psychedelic Eclipse. 1963. Acrylic on canvas. Colección Banco Central de la República Dominicana.
Paisaje con lluvia, c. 1940


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