fbpx

Caribeart

Valerie Marie Brathwaite est née à San Fernando, Trinité-et-Tobago, en 1940. Elle a grandi en tant qu’artiste en Europe pendant ses années de formation, tout en étudiant l’art et le design d’intérieur. La pratique de Valerie Brathwaite s’inspire principalement de la nature. Avant tout sculptrice, elle crée des formes d’abstraction organique en utilisant des volumes sculpturaux simples et des lignes sinueuses qui rappellent la flore, la faune et les paysages des Caraïbes et de l’Amérique du Sud.

Aperçu de la première exposition personnelle de Brathwaite à la galerie Henrique Faria à New York “Where have all the flowers gone ?” (Où sont passées toutes les fleurs ?) 2021

Brathwaite a reçu une formation académique approfondie en sculpture, travaillant avec des artistes tels que Hubert Dalwood à Londres et Ossip Zadkin à Paris, à une époque où la sculpture évoluait du moderne au contemporain. Fajardo-Hill écrit : “Son choix de formes et de motifs, ainsi que de matériaux, dépasse les frontières de la tradition.” Ses œuvres, qui vont de l’art traditionnel à l’expérimentation, comprennent du béton, du plâtre, de l’argile, de l’aluminium, du bronze, de l’argent, des sculptures souples en tissu rembourré et, plus récemment, du MDF, démontrant à la fois la liberté et l’ingéniosité de la matérialité et de la fabrication.

L’utilisation par Brathwaite de couleurs, souvent vives et trouvées dans la nature, est fondamentale pour embrasser la forme et est souvent appliquée en couches pour devenir un élément intégral de la sculpture. Son déploiement de la couleur est une caractéristique surprenante et non conventionnelle de son travail, car la sculpture modelée est rarement polychrome, ce qui la distingue de ses professeurs et de ses pairs depuis les années 1960.

Soft Bodies/Cuerpos Blandos, 2004. Cette installation de sculptures textiles a été exposée dans le cadre de l’exposition collective intitulée Retomando el Volúmen (aproximaciones a la nueva escultura). Une proposition intéressante du commissaire Miguel Miguel pour le MAO en 2004.

J’avais vu ces pierres sur le sol à Trinidad, je les trouvais merveilleuses, parfaitement sculptées par la nature. Je les ai ramassées et les ai gardées précieusement pendant longtemps. Devant une telle admiration, j’ai décidé de faire mes propres rochers, une interprétation très personnelle de ceux-ci… les rochers de ma plage privée”.

Sans titre. 1970. Gravure. 33 x 48,3 cm (13 x 19 pouces). Édition 1/1. Crédit photo Henrique Faria New York
Sans titre. 1989. Média mixte 38,1 x 48,3 cm (15 x 19 in.) (38,1 x 48,3 cm.) Crédit photo Henrique Faria New York
Sans titre, 1975, Encre sur papier,25 1/2 x 19 5/8 in. (64,8 x 49,9 cm.) Crédit photo Henrique Faria New York

Suivez Valerie sur ses réseaux sociaux >

✽ Instagram

Vous avez aimé cet article ? Faites-le nous savoir !

TAG :

#Caribeart #CaribbeanArtist #Caribbean #Caribe #Sculpture #Art  #Experimental #Artist #Femalebody  #Magazine #Mag #Webmag #New #Spanish ##Trinidadandtobago #Trinidadianart #Womenartists #Greatwomenartists #caribeanartist #latinamericanartist #latinamericanart #contemporaryart #contemporarypainting #artcurators #puertorico #art #artwork #mistico #misticismo #artelatinoamericano #mysticism #mysticismart #sculpture #materiality #softsculpture

Recommended Reads
Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site est protégé par reCAPTCHA et Google Politique de confidentialité et Conditions d'utilisation appliquer.