Michael Lees est un cinéaste et photographe britannico-dominicain dont le vaste portfolio explore les liens humains, la nature et l’identité caribéenne. S’inspirant de son île natale, la Dominique, Lees capture des moments purs, des célébrations du carnaval, des prises de vue stylisées aux portraits plus candides, des jungles luxuriantes au changement climatique, le tout autour du thème de l’évolution du paysage et des communautés de la Dominique, en documentant et en affrontant les problèmes socio-environnementaux tels que le réchauffement climatique et le néo-colonialisme.
En 2020, Lees a sorti son premier documentaire, Uncivilized, qui l’a conduit dans les forêts de la Dominique, où il allait affronter l’ouragan Maria seul dans une hutte en feuilles de palmier et en bambou. Le film a été projeté dans des festivals des Caraïbes et dans des festivals internationaux tels que le Brooklyn Film Festival et le Pan-African Film Festival de Los Angeles. Il a remporté le Caribbean Spirit Award en 2020 au Barbados Independent Film Festival. Il a écrit, tourné et monté pour des clients allant de Billboard à l’UNICEF, et a exposé en Dominique, dans la région et au Royaume-Uni.
Le mot Sensay vient du mot ghanéen “senseh” qui désigne en langue twi un oiseau doté de qualités spirituelles.Traditionnellement, les costumes de Sensay étaient faits de corde de sisal, dérivée des fibres naturelles de la plante agave sisalana.Aujourd’hui, ils sont faits de sacs de crocus, de feuilles de bananier, de corde et de tissu effilochés, avec un masque et des couvre-chefs en corne de vache.
On voit ici une jeune Sensay se déguisant dans le vieux Mas de la Dominique, prise en 2019…
Je me sentais particulièrement enfermé à la maison ce jour-là, j’ai décidé d’explorer un nouvel endroit… Je me suis retrouvé au “Dolphin Resort”, jamais terminé, près de Salisbury.
It is not a mouth thirsting nor an empty hand stretched forth,
But rather a heart enflamed and a soul enchanted.”
De la série “Moving Back, Looking Forward” 2021
Quand j’étais enfant, ce terrain était l’un des cœurs du cricket en Dominique. Etant plutôt footballeur, je me faufilais sur le terrain quand c’était calme pour m’entraîner aux kickups et jouer avec mes amis.
Après la tempête tropicale Erica, le terrain a été inondé, et à nouveau avec l’ouragan Maria de catégorie 5. Aujourd’hui, les vaches paissent tranquillement tandis que les ricins occupent le nouvel espace.
1ère édition d’un tirage limité disponible sur mon site internet michaellesmedia.com (lien dans la bio)
23.5″ x 35.5″
Imprimé sur papier mat, encadré dans un cadre noir de 1,5″, verre et passe-partout de 2″, prêt à être accroché.
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